"THIS IS NOT WHAT YOU ARE DOING OR WHAT YOU HAVE DONE, IT IS WHO YOU ARE" I heard this sentence yesterday and wanted to show gratitude to those managers I have had in the past 20 years and who valued more who I am than my experience and allowed me to be the best of who I am.
Some managers gave me a job although I had no experience at all (my first internship) or no experience or diploma in the area (first job in HR). Some managers made me clear that although I am doing high quality work, working in a team means something else. Some managers taught me new ways to lead a team. Some managers inspired me with their way of being. Some managers (together with extraordinary company culture) showed me how important is respect for people, no matter who they are (community, clients, colleagues, shareholders). Some managers took the time to listen to me. Some managers showed vulnerability by asking me to show them how I am working because they really loved my work. Some managers where just a perfect fit for me, there was no need to talk to understand each other and learn from each other. One even gave me my first job in English after a face-to-face interview where I could hardly understand any word (I still wonder what decided him to do so). Some supported me for my next job opportunity without even telling me (I realized it on my own years after). Some managers made me confident that my work has real value. As a manager I was attached to value who people are and what they want to, what they live for, what they believe in, what they like, what energy they share... I have of course sometimes failed but I hope I gave opportunities to some people who did not necessarily had the experience. Today I love my job as a coach because this is all about it: who you are and who you want to be. Not surprised this sentence is coming from Michale Bungay Stanier who teaches manager to be "coach-like". Here is the link to his podcast 2 pages with MBS and the full sentence from "A Seat at the Table: Minda Harts x “Kindred” "What if you could be the person who sees and who names the best of people? The person who says: "this is not what you are doing or what you have done it is who you are"." Forget what people can do or cannot do today and you will be surprised on how much they can achieve.
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Soyez authentique dans tout ce que vous faites. Vous aurez plus de plaisir à chaque instant. Certains actions vous donnent envie de procrastiner mais sont incontournables. Ne pas y mettre une dose d'authenticité quand vous les faites, n'engendrera que plus de souffrance et pas ou peu de bénéfices. Mettez-y une bonne dose d'authenticité et vous aurez le plaisir d'avoir honoré vos valeurs et émotions, vous ressentirez un soulagement physique et mental et vous obtiendrez des résultats durables.
Il y a quelques jours je citais ce livre de Tom Philipps, "Et Merde!", pour partager mon avis sur notre responsabilité lorsque nous nous taisons alors que nous sentons que les choses ne tournent pas normalement.
J'y ai trouvé un autre exemple de responsabilité, sans pourtant en avoir l'air. En effet nous ne sommes pas toujours responsables du fait qui a déclenché une situation catastrophique, dramatique ou au moins qu'il aurait été préférable d'éviter. Si nous n'abattons pas le dernier arbre d'une forêt mais son avant-dernier, notre responsabilité est autant engagée que celle de celui qui abattra le dernier arbre. Lorsque nous agissons, essayons de ne pas voir seulement le résultat immédiat mais réfléchissons aux conséquences des conséquences de notre acte. Faisons-en un peu moins, prenons un peu plus de temps pour réfléchir doublement avant d'agir et agissons en ayant envisagé les conséquences à 1 an, 10 ans, 50 ans, 150 ans... Nul ne garantit le résultat à si long terme mais, quel qu'il soit, nous pourrons assumer sans honte notre responsabilité. Je vous l'accorde cette photo n'est pas prise chez moi. Le décor n'est pas celui de Saint Maximin. Mais c'est bien à cela que je pensais ces derniers jours chaque fois que je me promenais. Ce n'est ni la fête des grands-mères, ni celle des grands-pères mais inutile d'attendre une fête commerciale pour les célébrer.
Je crois que beaucoup de grands-parents ont accueilli in extremis leurs petits-enfants pour ces deux semaines de vacances forcées. Dans la rue et dans les jardins je voyais partout des enfants avec leurs grands-parents; vous jardiniez, vous faisiez de la trottinette, vous vous promeniez, vous laviez votre terrasse, vous mangiez au soleil... On parle souvent de favoriser les échanges inter-générationnels. Quel bel exemple que de le faire au sein de sa propre famille quand c'est possible! Alors, chers grands-parents, votre quotidien est probablement chamboulé, vous vous sentez probablement parfois impuissants face à l'hyperactivité de certain-e-s ou à la difficulté à communiquer avec d'autres, mais vous offrez une occasion unique à vos petits-enfants de savoir d'où ils viennent, même s'ils ne l'expriment pas comme cela. Profitez-en bien vous aussi. J'aime ce monde que j'ai vu où les générations se rapprocher. Face à une situation de stress, il nous arrive de subir nos propres réactions plutôt que de choisir une réponse appropriée. Ce manque de contrôle vous touche parfois ou même vous est très familier? Jetez un coup d'oeil à ces 7 manières de répondre plutôt que de réagir. Contrôlez ainsi vos réactions pour montrer ce que vous avez de meilleur et inspirer votre entourage. Une situation vous exaspère, vous énerve, vous attriste, vous perd, vous laisse perplexe, vous met en colère, vous émeut, vous fait douter, vous frustre... Chaque jour apporte une bonne centaine d'occasions de vous faire réagir d'une manière que vous ne souhaitez pas. Pourtant chacune de ces occasions est une opportunité de choisir qui vous êtes à cet instant en adoptant l'une des 7 réponses suivantes: 1- La victime: "Et voilà c'est encore sur moi que ça tombe. Je n'y peux rien et d'ailleurs: à demain tout le monde!, je pars faire quelque chose qui me convient mieux." 2- L'impatient: "Pas moyen que ça m'arrive encore une fois, cette fois je m'énerve. Ne le prenez pas personnellement, vous êtes probablement parfaits comme vous êtes, je suis juste complètement à bout et là j'ai besoin que ça passe." 3- Le responsable: "Allez, je me ressaisis, je fais un effort et ça va passer. Le bout du tunnel n'est pas si loin." 4- Le conciliant: "Que puis-je faire pour toi pour que la situation s'arrange? Qu'est-ce qui te conviendrait? Comment puis-je t'aider?" 5- Le visionnaire: "Si cela m'arrive c'est que cela devait m'arriver? Que puis-je apprendre de cela? Quelles nouvelles idées m'apportent cette situation?" 6- Le symbiotique: "Ce qui m'arrive n'est ni bien ni mal. Cela m'arrive et je vis cette situation sans aucune résistance." 7- L'exalté: "Personne ne perd, ni ne gagne. Je suis. Cette situation est et n'est pas" Apprendre à choisir parmi ces sept réponses possibles c'est décider qui nous voulons être à chaque instant et en particulier dans des moments de stress. Chacune de ces réponses a ses avantages et ses inconvénients. Vous seul-e savez laquelle vous convient le mieux pour une situation donnée à un instant donné. Pour cet article je m'inspire de l'Energy Leadership Index de l'Institute for Professional Excellence in Coaching (iPEC), protégé par des droits d'auteur et dont je propose l'évaluation dans mes prestations. Télécharger le fichier ci-dessous pour une vision graphique de ces sept réponses possibles selon l'iPEC.
Hier un moment plutôt banal et court avec ma fille s’est transformé en moment très intense.
J'ai décidé d'avoir une petite activité sportive avec ma fille de 6 ans. A chaque fois que je fais quelque chose avec elle j'essaie que ça soit aussi divertissant pour moi que pour elle. Si je ne m'amuse ou si ça ne m'intéresse pas assez je tiens 2 minutes, pas une de plus. J'ai horreur du jogging mais bizarrement hier j'ai décidé que nous ferions un petit jogging ensemble. Bon début: elle a accueilli l'idée avec enthousiasme (je crois que l'idée de faire du sport "comme papa" était sa motivation, plutôt que du sport "avec maman"). Nous voilà partie pour faire un petit tour de 15 minutes. Je n'ai pas fait de sport depuis des lustres, elle a six ans et je ne suis pas coach sportif donc je ne voulais pas prendre plus. Et puis, 15 minutes c'est le temps que dure une méditation que j'aime particulièrement et que j'avais choisie comme minuteur pour m’encourager à courir. Ces 15 minutes ont été extraordinairement riches. D'abord ma fille déborde d'énergie et est partie en faisant des bonds, des sprints, des arrêts, des demi-tours, des redémarrages... (j'ai beau ne pas être coaching sportif, je me demandais comment elle irait au bout des 15 minutes). J'ai décidé de la laisser faire et de voir ce qu'elle apprendrait de cela, plutôt que de lui donner quelques règles (elle venait de m'annoncer, quelques heures plus tôt, qu'elle n'aimait pas les activités où on lui disait quoi faire). Elle est bien arrivée au bout. Rouge écrevisse. Et au bout d'à peine 5 minutes elle m'a demandé si c'était l'heure de rentrer. Je cours très lentement et je voyais bien qu'elle pouvait tenir encore un peu, en marchant assez vite. Et la bonne humeur était encore là. Nous sommes toutes les deux rentrées ravies et prêtes à recommencer au terme des 15 minutes. J'ai appris qu'effectivement ma fille déborde d'énergie mais qu'elle préfère gérer elle-même cette énergie plutôt qu'on lui dise quoi en faire. J'ai appris qu'avec cette bonne humeur nous sommes capables d'aller au bout d'une tâche raisonnablement difficile. Et que c'était seulement 15 minutes mais un moment génial avec ma fille qui valait toutes les heures de Playmobil qu'elle rêve que je passe avec elle et que j'évite continuellement. J'ai vécu d'autres choses aussi grâce à cette petite sortie banale: d'abord j'ai croisé un poème (affiché par la ville (j'ai fait d'autres articles à ce sujet il y a quelques jours). C'était un poème très particulier. Parce que j'étais une petite fille quand je l'ai appris à l'école et parce qu'il est très beau, il m'avait beaucoup marquée. C'est ce poème écrit par Victor Hugo à sa fille. "Demain dès l'aube...". Je ne me souviens d'aucun poème de mon enfance sauf les premières lignes de celui-ci. Tomber nez-à-nez avec le poème alors même que j'avais le privilège de passer un petit moment avec ma fille était d'une signification toute particulière et très forte. Je lui ai lu. Elle a aimé. Enfin j'ai choisi d'écouter une méditation, en guise de minuteur, que je n'avais pas écoutée depuis un moment et qui me plaît toujours autant. Effet reboostant et inspirant immédiat !!!! La voici pour les plus curieux d'entre vous: https://youtu.be/IRJX4lvFB64. Pourquoi je raconte tout cela? Parce que je veux vous rappeler qu'en prenant des décisions, même infimes, et en restant curieux-se de tout ce qui se passe autour de nous, nous nous offrons la possibilité de vivre des moments d'une intensité incroyable, de vivre la vie passionnément. Nous avons tous des appréhensions. Et elles sont naturelles. Nous les jugeons souvent comme idiotes et bloquantes et essayons de les oublier pour progresser. Elles sont bloquantes certes, mais les juger comme idiotes ou tout faire pour les oublier ne fera que les rendre plus présentes.
Aujourd'hui dans une conférence avec une coach renommée j'ai été fascinée de découvrir qu'une technique que j'ai créée pour moi-même et que j'ai proposée à certains de mes clients est utilisée également par cette coach sur elle-même. J'ai donc eu envie de la partager ici. Mes appréhensions sont loin d'être idiotes, elles sont la pour me protéger. Pour m'éviter d'échouer, de me faire mal, d'être déçue, de me tromper, d'être ridicule... Bref elles ont une vraie utilité et je préfère les écouter plutôt que de les oublier de force. Par contre, et c'est là que le jeu commence, au lieu de suivre leurs recommandations, je les remercie pour leurs bons conseils qui ont su me préserver jusque là et je note les risques que je prends si je ne suis pas leurs recommandations. Puis, je fais l'inverse de ce que me dicte mon appréhension tout en acceptant le risque. C'est effrayant et excitant et... la plupart du temps je me rends compte que cette vieille appréhension a de moins en moins lieu d'être. Parfois elle avait raison et j'échoue. Mais... à chaque fois que j'échoue je me rends compte que rien de grave ne s'est produit. Alors, le jeu continue et la fois suivante, je tente de choisir ma propre voie plutôt que celle de mes appréhensions et je connais les risques et soit j'échoue, et le jeu continue, soit j'ai grandi. Et finalement à tous les coups je gagne. Je grandis sans cesse au lieu de rester bloquée par mes appréhensions. 1) Connaissez bien vos appréhensions 2) Ecoutez les plutôt que de les rejeter 3) Choisissez de suivre leurs recommandations parce que ça n'est pas le moment de prendre un risque ou de prendre un risque pour voir ce qui se passe. Ce sont les règles du jeu. J’observe beaucoup de personnes qui attendent d’avoir VRAIMENT atteint 100% de leur objectif pour célébrer. Il y a une logique derrière tout cela: pourquoi se contenter de peu quand on sait qu’on peut obtenir un meilleur résultat?
Et j’espère bien que vous allez célébrer et plutôt deux fois qu’une de la manière que vous le souhaitez si vous atteignez 100% de votre objectif. Mais qu’est-ce qui vous le garantit d’ailleurs? Pourquoi ne déciderez-vous pas de repousser encore un peu vos limites et finalement ... ne jamais célébrer? Ou pire... êtes-vous certains que les priorités n’auront pas changé à la date où vous aurez atteint votre objectif, rendant toute célébration plutôt mal venue ? Ou bien n’est-il jamais arrivé que votre objectif ne soit même plus atteignable tout simplement parce que vous avez commencé à faire autre chose? Comment rester motivé dans ces cas là? Face à toutes ces constatations j’ai décidé pour moi, mes enfants mais aussi mon entourage et mes clients de célébrer chaque chose positive qui arrive. Grande ou petite. Parce que les choses petites que l’on achève chaque jour sont indispensables pour atteindre ces plus grands objectifs. Célébrer signifie parfois juste donner de l’importance en s’arrêtant pour nommer ce qui vient de se passer et pourquoi nous en sommes contents. Et célébrer donne cette énergie pour continuer. Ne soyez pas trop dur avec vous même. Reconnaissez vos propres progrès. |